À une époque où les menaces contre la liberté académique se multiplient, y compris dans des pays dotés d’institutions démocratiques fortes et d’une tradition d'autonomie académique, la Turquie est depuis quelques années le lieu d’initiatives alternatives qui constituent une forte incitation à repenser les frontières du monde universitaire et à inventer de nouvelles formes de solidarité et de coopération pour promouvoir des réseaux et des structures de production et de diffusion des connaissances plus inclusives. Au-delà des programmes d’accueil individuels des « scientifiques en exil », des formes collectives de soutien à ces initiatives sont indispensables pour soutenir l’accès aux ressources académiques, l’intégration dans les réseaux scientifiques et la reconnaissance de la valeur académique des activités de collègues (doctorant·e·s, post-doctorant·e·s ou titulaires) exclus du monde universitaire pour raisons politiques.
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