Publié le 11 mars 2024 Mis à jour le 29 mars 2024

Du 2 au 4 avril, le public qui fréquente le Campus Condorcet est appelé à voter à l’occasion du 1er budget participatif du Campus Condorcet. Découvrez les projets en lice et comment voter.

Les projets soumis au vote

Parmi les projets déposés dans le cadre de l’appel à projet, huit sont soumis au vote des résident.es du 2 au 4 avril.
Amap du campus

Le projet vise à constituer une AMAP sur le campus, accessible aux différent.e.s usager.e.s du campus sans restriction. Cela permettrait de répondre à une demande de création de lien social entre membres de l’AMAP autour de valeurs solidaires ainsi que de s’ancrer dans le territoire avec des producteur.ices locaux et bio de préférence.    Regroupant des usager.es différent.e.s, nous utiliserons des outils en ligne collaboratifs pour communiquer et répartir les tâches.    Une charte d’engagement ainsi qu’un contrat devront être signés pour l’adhésion : nous constituerons une association de loi 1901 composée d’une dizaine de membres. Pour chaque distribution, les adhérent.e.s seront mis.e.s à contribution. En fonction du nombre d'adhérent.e.s (nous estimons pour la première année une quarantaine d'adhérent.e.s), cela représente un engagement de deux à trois distributions par an.    Nous allons diffuser une manifestation d’intérêt dans les listes mails afin d’avoir une idée des publics motivés par l’idée et voulant s’engager.    Qu’est-il attendu du Campus ?    Nous souhaiterions que le campus donne une visibilité au projet et nous sollicitons une aide à l'organisation et la coordination logistique pour mener à bien les distributions (local de distribution et de stockage) et faciliter la livraison pour les producteur.ice.s.    Partenaire(s)    Producteur.ices locaux à définir, de préférence bio. Piste possible auprès d’associations solidaires albertivillariennes (Le Pas si loin (marché sur l’eau), Icar (épicerie solidaire et soutien scolaire, déjà au bâtiment EAC).

Aménagement d’une spirale à insectes dans le jardin partagé

Le jardin partagé s’impose comme le lieu majeur en matière de biodiversité au sein du campus Condorcet. Favoriser les vivants sur le campus peut donc passer par des aménagements propices dans cet espace. Dans le même esprit que les hôtels à insectes, nous suggérons la construction d’une spirale à insectes, également appelée spirale aromatique.    Il s’agit d’une structure en pierre plates d’une hauteur d’un mètre et de trois mètres environ de diamètre, plantée d’herbes mellifères et/ou aromatiques. Les interstices entre les pierres constituent autant d’habitats pour les pollinisateurs tels que les coccinelles, abeilles sauvages, carabes, araignées mais aussi pour les reptiles comme les lézards. La structure en spirale offre une diversité de micro-habitats en termes de hauteur, d’humidité, de température et de lumière.    Le fort ensoleillement dont bénéficie le jardin partagé est idéal pour cet aménagement. Plus particulièrement, le Ladyss est prêt à dédier une partie de sa parcelle, située au centre du jardin, à l’implantation de la spirale à insectes. La construction pourra être assurée par les résidents du Ladyss ainsi que des habitants et d’autres résidents du campus intéressés lors d’un week-end de chantier collectif.    La spirale, en attirant des pollinisateurs, bénéficierait à l’ensemble du jardin. De plus, elle constituerait un support pédagogique intéressant tant pour les usagers du campus et les habitants que pour les étudiants. Les responsables de l’UE « Dynamiques de la biodiversité » en licence de géographie de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, par ailleurs résidents du campus Condorcet, ont déjà témoigné de leur enthousiasme pour ce projet comme support de cours. De même, plusieurs collèges albertvillois sont intéressés par le jardin partagé et pourraient bénéficier de l’aménagement de la spirale à insectes.

Boulodrome

Installation d'un ou deux terrains de pétanque en vue de proposer des cours ou tournois/animations aux étudiants/membres du Campus.

Des oiseaux pour améliorer notre santé

L’augmentation globale de l’urbanisation pose des problèmes de santé mentale, avec notamment une augmentation importante des problèmes d’anxiété et de dépression, qui est donc un enjeu majeur dans les villes (Marselle et al. 2020). Des recherches récentes et de plus en plus nombreuses ont démontré une influence positive de la présence d’espace verts et de la biodiversité sur de multiples aspects de la santé humaine, qu'il s'agisse de la santé mentale ou de la santé physique (Felappi et al. 2020). Par exemple, il a été démontré que le fait de vivre à proximité de parcs urbains ou de plans d'eau est lié à une meilleure perception de sa santé physique et mentale (Gascon et al. 2015). Dans ce contexte, des études ont mis en évidence des liens positifs entre la biodiversité et la santé humaine (Marselle et al. 2019). Par exemple, une plus grande richesse en espèces d'oiseaux et de plantes dans les parcs urbains est associé à une augmentation du bien-être psychologique (Fuller et al. 2007) et l'abondance d'oiseaux l'après-midi est associée à une meilleure santé mentale dans les zones urbanisées (Cox et al. 2017).   Au-delà de la santé mentale et du bien-être, les personnes qui visitent régulièrement des parcs urbains présentant une grande diversité d'espèces (y compris des plantes et des insectes) ont fait état d'une meilleure santé globale, basée sur une mesure composite couvrant à la fois les aspects de santé mentale et physique (Carrus et al. 2015). De même, une prévalence plus élevée de "bonne" santé humaine globale a été observée chez les personnes vivant dans des zones plus riches en espèces d'oiseaux. En effet, la présence de chants d’oiseaux a des effets bénéfiques bien documentés sur la restauration mentale, le calme et la créativité (Ratcliffe et al. 2013). Ainsi, il a récemment été démontré que les zones urbaines où la diversité d’oiseaux est plus faible semblent présenter un nombre plus élevé d'admissions à l'hôpital liées à des problèmes de santé mentale (Buxton et al. 2023). Le simple fait de voir ou d’entendre des oiseaux peut avoir des effets bénéfiques sur notre bien-être, même pour des personnes souffrant de symptômes dépressifs. Cet effet bénéfique s'est également prolongé au-delà du moment de la rencontre avec les oiseaux (Hammound et al. 2022). Les auteurs suggèrent donc qu’il est nécessaire de créer et soutenir des environnements, en particulier des environnements urbains, où la présence d’oiseaux en est une caractéristique permanente.  Dans ce contexte, augmenter la présence et la diversité d’oiseaux dans les jardins partagés et espaces verts du Campus pourrait être bénéfique pour le bien-être de toute la communauté du Campus Condorcet et alentours. Nous avons remarqué qu’il y a trois nichoirs installés dans la partie nord du campus mais ces nichoirs ne sont pas appropriés pour les espèces présentes et ne sont pas installés de façon appropriée (il en de même pour les abris à chauve-souris). Dans le contexte d’un projet de recherche mené par des membres de l’Institut Francilien d’Ethologie (IFE), qui est résidents du Campus Condorcet, des nichoirs à oiseaux ont été installés sur campus de l’Université Sorbonne Paris Nord à Villetaneuse. Ces nichoirs, qui ont été installé il y a un an, ont déjà été utilisés par des oiseaux au printemps dernier avec succès au niveau de la reproduction ce qui devrait permettre d’augmenter la présence d’oiseaux sur le campus de Villetaneuse. Nous proposons d’installer des nichoirs dans les jardins partagés et espaces vert du Campus Condorcet qui pourront notamment être utilisé par des mésanges et moineaux. On retrouve ces deux espèces en milieu urbain mais leur population diminue en raison notamment du manque de sites pour nidifier.   Nous proposons de commencer par installer 20 nichoirs au cours de l’automne 2024 afin que les oiseaux puissent les découvrir au cours de l’hiver afin de les utiliser au printemps suivant. La reproduction dans les nichoirs sera suivie chaque printemps par Cédric Zimmer et Patrizia d’Ettorre. Les oiseaux seront alors bagués afin de pouvoir effectuer un suivi des populations utilisant les nichoirs. Dans ce contexte, afin d’intégrer les usagers du Campus, il sera possible d’intégrer les personnes intéressées afin de participer à ce suivi. Nous envisageons ainsi de faire un appel en fin d’hiver afin de permettre la participation au suivi pour les personnes qui voudraient y prendre part. Nous proposons également de faire une présentation en amphithéâtre du projet au cours de l’automne pour expliquer aux utilisateurs du Campus l’intérêt de ce projet.

Espace interdit aux chiens

L'espace jardin partagé par le bâtiment Nord et l'espace associatif est  un lieu de détente, de loisirs mais également un lieu où se prennent des repas. Malheureusement cet endroit est devenu un "crottoir à chiens" : s'allonger sur les pelouses, prendre son repas est devenu risqué en raison du nombre croissant de déjection canine et des animaux qui ne sont pas tenus en laisse. Pour des raisons de convivialité, d'hygiène (chiens qui vaquent entre les tables où sont prises les repas) et d'écologie (les déjections canines ne sont pas des engrais exploitables à court terme) il serait important d'interdire les chiens dans cet espace. 

Hall Vert 

Végétaliser le hall du bâtiment SUD :   une quinzaine de plantes de plus de 1m de haut avec leur pot et terreau.

Les chats libres de Condorcet

Préambule :    Le Campus Condorcet est né d’un pari celui de se lancer dans la création du plus grand Campus de Recherche en sciences humaines et sociales répondants aux défis du XXIè siècle.  Le défi du Campus Condorcet est aussi de réussir son intégration dans son territoire d'accueil, la Plaine-Saint-Denis et l'Est-Parisien.  Participer au développement de la vie collective, des résidents, des usagers et des riverains, passe par l'attention que nous portons à notre environnement et sa biodiversité.  Force est de constater que le Campus Condorcet est devenu, de manière volontaire ou involontaire, un écosystème : l’écosystème d’un certain nombre d’espèces animales parmi lesquels se trouvent des chats libres ; ces derniers vivent et interagissent entre eux, avec et autour de nous.  L’idée de ce projet est de répondre à la question du bien-être animal. Il permettra également la rencontre et des interactions entre les résidents et les riverains et usagers du Campus qui s'efforcent aujourd'hui de veiller sur leur bien-être.     Le Campus Condorcet tire sa force des sciences humaines et sociales qui ont depuis longtemps démontré la sensibilité dont les animaux sont dotés et les bienfaits qu'ils peuvent apporter sur le développement de l’enfant, sur le handicap, sur la vieillesse... Loin d’être inutile, les chats jouent, par ailleurs, un rôle en limitant la prolifération de certaines espèces nuisibles.    Or, malgré des millénaires de cohabitions, le bien-être animal est un concept récent, il a été défini en 2008 par le ministre de l’Agriculture et de l’alimentation puis inscrit dans le code civil en 2015. Mais c’est vraiment depuis 2020 que de nouvelles mesures sont venues le renforcer. Il existe donc une convergence entre la protection animale et la protection de l’environnement. Ils sont des éléments essentiels de notre écosystème, au Campus Condorcet, à Aubervilliers et Saint-Denis en particulier.    Contexte du projet :  Depuis le printemps 2021, plusieurs chats errants ont été identifiés aux abords du Campus Condorcet et de la Maison des Sciences de l’Homme. Ils ont été tous pris en charge, stérilisés et soignés par notre équipe de résidents du Campus Condorcet et l’association Les Amis de Peluche (Saint-Denis). Certains ont pu être adoptés. D’autres en revanche, trop sauvages pour être sociabilisés et adoptés, ont été relâchés sur leur territoire d’élection. Chaque année, des chattes sauvages donnent naissance à des portées de chatons aux abords de la Résidence Alpha du Campus, quand ce ne sont pas des chats abandonnés par leurs maîtres qui rejoignent leurs rangs. Ces animaux, lorsqu’ils sont privés de soins, voient leur espérance de vie drastiquement raccourcie, menacée par les véhicules roulant à proximités, le FIP (« Sida du chat »), le typhus et la malnutrition.    Une équipe, constituée de résidents du Campus, d’étudiants hébergés dans la Tour Alpha, de riverains et de membres d’associations de protection des animaux (Les Amis de Peluche, le Chat d’Oc, Les chats libres du Parisis), s’est constituée de manière à assurer l’alimentation et les soins des chats libres permanents et de leurs congénères temporaires. En trois ans, une quinzaine de chats ont été trappés et adoptés, tandis que Fillette, Chamallow et Fillot sont peu à peu sociabilisés au contact de l’humain.    Dans ce contexte, nous souhaitons saisir l’opportunité de cet appel à budget participatif afin de contribuer au financement, de ces animaux domestiques libres et en parallèle d’assurer la diffusion de ce projet et solliciter des renforts parmi les résidents du Campus et ses riverains par le biais d’une campagne de communication déployée sur les réseaux sociaux, une campagne d’affichage et par les canaux de diffusion du Campus (Newsletters, écrans, etc.).     L’équipe des bénévoles actuellement constituée comporte en effet trois résidents du Campus (laboratoires du Bâtiment Recherche Sud), deux riverains de La Plaine Saint-Denis et une étudiante résidant dans la Tour Alpha, sans compter les trois structures associatives implantées en banlieue nord et à Paris. Outre l’intérêt de fédérer des forces et de permettre des échanges et une entraide à l’échelle locale, tous disent le plaisir de tisser du lien avec ces animaux, et les effets bénéfiques sur leur qualité de vie au travail et de manière plus large, leur santé mentale.     Le présent projet nous semble donc à même de répondre à des enjeux territoriaux de santé publique -la prolifération d’animaux non stérilisés et non soignés- mais également vecteur de liens entre le Campus Condorcet et ses riverains.  Espérant avoir su montrer l’intérêt de cette demande de financement par le biais du budget participatif du Campus Condorcet, nous vous prions de bien vouloir recevoir nos salutations les plus sincères.    Équipe permanente de bénévoles et partenaires:    Zeineb Abdallah (Étudiante résidente de la tour Alpha)  Emmanuel Bellanger (CHS/CNRS)  Flore Berruto (GEMDEV/Université Paris 8)  Camille Bourdiel (CHS/Université Paris 1)  Odile, Nadège et Felix (habitant.es de la Plaine-Saint-Denis)    En partenariat avec les associations de protection des animaux :  « Les amis de Peluche » implantée à Saint-Denis : Christelle Doré (habitant de la Plaine Saint-Denis)  https://www.helloasso.com/associations/les-amis-de-peluche    « UCELA », association d’habitant.es de la Plaine-Saint-Denis : Angèle  https://www.helloasso.com/associations/unis-pour-les-chats-errants-libres-et-abandonnes-ucela    « Les chats d’Oc » implantée Paris et agissant sur tous le Grand Paris : Felix Mazet (habitant de la Plaine Saint-Denis) et Nadège Corbière (Habitante de Saint-Denis, ancienne doctorante au Campus Condorcet)  https://lechatdoc.fr    « AnimÉgaux », implantée à Aubervilliers  https://www.animegaux.com/accueil-jeune-chat-chaton-chien-nac-adopter-adoption    - « École du Chat livre du Parisis », Cormeilles en Parisis, Evelyne Casimir-Milan  https://chatsduparisis.fr    Ce que dit la loi :   Les chats, qu’ils soient sauvages ou semi-sauvages, entrent dans la catégorie des « chats libres » et sont considérés comme des animaux à protéger.  A ce titre, l’article L214-3 du Code Rural et de la Pêche Maritime (CRPM) interdit d’exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques et les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité. Cet article inclut l’interdiction de priver les animaux de nourriture ou d’eau, nécessaires à leurs besoins physiologiques, et de soins en cas de maladie ou de blessures. En cas de mise en danger d’un animal domestique ou apprivoisé par la privation de nourriture, d’abreuvement ou l’absence de soin, une amende de 4ème classe (750€) est prévue. Les chats libres sont ainsi protégés au même titre que les animaux domestiques, et leurs protecteurs sont autorisés à les nourrir en s’assurant d’éviter toute nuisance.  Source : Site internet de la SPA : https://www.la-spa.fr/faq-puis-je-nourrir-un-chat-errant/, consulté le 13 février 2024 à 18h28.    Quelques chiffres :   •    Une chatte peut mettre bas sa première portée dès ses 6 à 7 mois.  La gestation des chatons dure entre 52 et 65 jours.  •    Une chatte a en moyenne 4 chatons (mais elle peut aussi mettre bas jusqu’à 8 chatons). Ce que représente les dépenses vétérinaires : exemple stérilisation entre 80€ (mâle) 300€ (femelle) et soin alimentaire 150 euros/"

Ping-pong partagé

Deux projets déposés proposent d'installer des tables de ping-pong :

  • En partenariat avec l’AEHESS et des associations étudiantes présentes à l'EAC, nous souhaitons installer une table de ping-pong extérieure devant les locaux de notre l’UEE - Union des Etudiants Exilés à l’EAC ("La Cabane"). Grâce à notre localisation, juste devant le CROUS et le terrain de basket, beaucoup d’étudiant.es du campus passent chaque jour devant le bâtiment mais sans y entrer.     Notre but principal est d’attirer les étudiant.es au forum, celui-ci proposant des activités culturelles, sportives de plusieurs associations. L’UEE organise plusieurs activités chaque mois qui visent à faire rencontrer des étudiant.es français.es et exilé.es pour permettre à ces derniers d’entrer dans la vie étudiante en créant des liens. Cela permettrait également à toutes les personnes de venir jouer au ping-pong sur la pause de midi, juste en face du CROUS.    Par l’installation d’un ping-pong d’extérieur, les étudiant.es pourraient venir jouer devant les locaux et par conséquent s’intéresser aux activités qu’il y a à l’intérieur. L’entrée des lieux serait plus remarquable et présentée comme un lieu de loisirs, ce qui les rendraient plus attractifs pour les personnes qui passent devant. En résumé, nous souhaitons ré-animer les lieux afin que l'EAC redevienne un point de rendez-vous pour un certain nombre d’étudiant.es et pour favoriser les rencontres entre étudiants exilé.es et français.es.
  • Installation de deux tables de Ping Pong, accessibles PMR, en vue de proposer des cours ou tournois/animations aux étudiants/membres du Campus.

Ces deux projets sont fusionnés. S'ils sont retenus, il y aura donc deux tables de ping-pong.

Comment voter ?

Le vote se déroulera du 2 au 4 avril entre 11h30 et 14h30 dans les halls des bâtiments recherche nord et sud, à l’entrée sud de l’Humathèque.

Le vote aura lieu uniquement en présence, sur bulletin de vote papier.

Les projets seront listés avec les montants demandés et les emplacements envisagés et les votants pourront évaluer les projets sur une grille de notation : 
  • Excellent (3 points) ; 
  • Très bien (2 points) ; 
  • Bien (1 point) ; 
  • Pas convaincu.e (0 point).
Les projets seront ensuite classés selon le nombre de points remportés.

En fonction du budget de chaque projet, plusieurs projets pourront être mis en place. En cas d’égalité, la décision reviendra au Comité de site.

La réalisation des projets lauréats est prévue pour la rentrée 2024. En fonction des contraintes des projets, certains pourront être réalisés avant cette date.

Vous aussi participez au dépouillement

Le dépouillement sera effectué par les personnes qui se seront portées volontaires et encadré par les personnes recrutées pour le vote.
Si vous souhaitez participer au dépouillement, faites-vous connaitre à l’une des tables de vote.